Histoire de producteur – interview
Aux soeurs des champs
Bonjour Tamara, Bonjour Méghann, pouvez-vous nous présenter rapidement votre ferme ? Que cultivez-vous ? Où êtes-vous situées ?
Bonjour !
Nous avons un terrain de 5 hectares sur la commune d’Inglange. Nous avons actuellement 70 ares consacrés au maraîchage de plein champs en plus de 3 grandes serres.
Le reste du champs est une grande prairie nous comptons à terme cultiver 1,5 hectares de maraîchage et garder le reste en prairie ou faire quelques céréales.
Nous avons également 18 hectares sur Distroff actuellement en conversion pour que les terres soient certifiées AB (NDLR : Agriculture Biologique) dans 3 ans. Nous comptons y cultiver des céréales pour nos poules et y élever des cochons en plein air (mais pour le moment nous nous concentrons sur la partie maraîchage et poules pondeuses).
Quel intérêt voyez-vous à travailler en Amap ?
Avoir une meilleure visibilité pour notre travail et vendre autrement avec plus de liens et de partages avec nos clients amapiens.
Avoir moins d’invendus qu’avec un marché traditionnel et gagner un temps précieux.
Qu’est-ce qui vous a amené à l’agriculture biologique ?
On ne s’est jamais posé la question du conventionnel, le bio était évident pour nous, on n’aurait pas voulu produire autrement.
Quels produits utilisez-vous en agriculture biologique pour lutter contre les « mauvaises herbes » et les insectes et autres animaux un peu trop gourmands ?
Contre « les mauvaises herbes » de l’huile de coude et parfois un peu de lâché prise pour les mauvaises herbes qui ne sont pas dans les cultures.